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| Balzac, vu par Arroyo |
Ces caractères brillamment nés de l'auteur du XIXe siècle deviennent ainsi le prétexte à un vagabondage artistique qui prolonge notre mémoire littéraire. Le premier contact d'Arroyo avec Balzac remonte à sa rencontre avec la sculpture située sur le boulevard Raspail à Paris dans les années 60 ; œuvre déjà fameuse pour l'interprétation très personnelle du génial romancier par le ciseau d'Auguste Rodin.
En 2015, Arroyo décide de publier une Comédie humaine illustrée, chantier colossal, propre à stimuler sa création.
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| Le colonel Chabert vu par Arroyo |
Le projet fut malheureusement brisé par sa disparition en 2018, mais de nombreux portraits de personnages ont néanmoins été réalisés : Le père Goriot, Melmoth, Elisabeth Baudoyer, Schmucke, Rubembré et d'autres, tous bien mis en valeur dans l'exposition.
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| Olympe Pélissier (modèle de la comtesse Fœdora) vue par Arroyo |
Les héros balzaciens forment ainsi le prétexte à une promenade poétique dans les souvenirs littéraires, mais également dans les techniques utilisées : la photographie, les ciseaux et la colle qui remplacent la palette et les pinceaux. La nouvelle maison de Balzac nous donne là l'occasion d'un voyage savoureux dans l'univers d'un artiste toujours amoureux de la littérature, grande inspiratrice de son travail.
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| Lucien de Rubempré vu par Arroyo |
Du 06 février 2020 au 10 mai 2020 à la maison de Balzac
47, rue Raynouard 75016 Paris
http://www.maisondebalzac.paris.fr/fr
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