L'exposition explore les mutations qui s’opèrent entre romantisme et impressionnisme en présentant, autour des artistes phares de l’époque : Delacroix, Ingres, Camille Corot, Rousseau ou Chassériau -, les peintres qui ont su lui plaire ou l’irriter. Elle montre l’attachement indéfectible de Baudelaire au romantisme et à Delacroix et permet de découvrir la modernité que forge le poète face au nouveau Paris et aux langages artistiques en formation, incarnée par la génération montante et la figure de Manet.
portrait de Charles Baudelaire par Gustave Courbet (c) RMN Grand Palais |
Elle se découpe en quatre temps :
- Les premières critiques de salon
- Le musée de l'amour, les fleurs du mal (1861) Jeanne Duval et Madame Sabatier
- L'héroïsme de la vie moderne : Baudelaire face à son siècle. Paris bouleversé et la religion du progrès
- Le poète devant la modernité et ses choix. Edouard Manet. Gustave Courbet. Constantin Guys
Les nuits de Pénélope |
Robert Kopp, commissaire de l’exposition inteview